La peinture blanche, celle des murs et puis la noire, celle qui devait servir à repeindre le portillon…
Les couteaux à plâtre, quelques vieux pinceaux, tournevis, lames de scie et autres vieux tubes abandonnés par les enfants, voilà, le tout sur les rayons poussiéreux du sous-sol… et bien sûr, ce petit vélo dans ma tête.
Pourquoi ça m’a pris, après des années et des années consacrées à la création publicitaire ?
En tout état de cause, il vaut mieux pour les miens et les voisins que le hasard se soit arrêté sur la peinture plutôt que sur la musique !
Jean-Claude